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Passerelles
Trois nouvelles évoquant le peuple kanak de Nouvelle-
Calédonie. Trois nouvelles écrites en quatre langues,
comme autant de passerelles posées sur l’océan.
Texte multilingue:
- Français
- Djehu
- English
- Hula
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Trois nouvelles évoquant le peuple kanak de Nouvelle-
Calédonie. Trois nouvelles écrites en quatre langues,
comme autant de passerelles posées sur l’océan.
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Français :
Trois nouvelles évoquant le peuple kanak de Nouvelle-
Calédonie. Trois nouvelles écrites en quatre langues,
comme autant de passerelles posées sur l’océan.
Djehu :
Köni tekes nyine anyipicine la melene la kanak atrene
la nöje Kaledoni. Köni tekes hna ujën kowe la eketre
lao qene hlapa, kösë ija engenemel feja hna jum kowe
la hneopegejë.
English:
Three stories evoking the Kanak people of New
Caledonia. Three short stories written in four languages,
like so many footbridges on the ocean.
Hula:
Kanaka aunilimalimara New Caledoniai geria rikwana
kokoikoi. Erikwana koikoi vanuga koikoi e kopunai
geva vanagiaole no lakavanagi nanu kukunai rawaparai.
Auteur(s) : Léopold Hnacipan,
Genre : Nouvelles,
Editeur : Éditions Humanis,
Collection : Archipels,
Caractéristiques : Format 12,7 x 20,32 cm, broché, 160 pages,
Date de parution : 2017,
EAN : 9791021903166
Personnage curieux et passionné, né en Nouvelle-Calédonie, Léopold est l’avant-dernier d’une fratrie de dix enfants. Adopté très jeune par ses oncles, il a été élevé dans un milieu très modeste où le combat pour la reconnaissance est un souci au quotidien ; il a livré bataille. Aujourd’hui, il est professeur dans un petit collège de la FELP à Voh, dans la vallée de la Tiéta. Là, entre ses cours et sa vie de famille, il écrit dans sa case de Cawiouko.
Il place la femme kanak au centre de sa création et n’hésite pas à aborder des sujets aussi tabous que la sexualité dans le monde mélanésien… Léopold Hnacipan est un auteur qui ose. Il aime rappeler ses racines qui prennent vie à Lifou, à Hunöj, la tribu de son père, et à Hnadro, celle de sa mère. « J’ai décrit mon enfance modeste dans la nouvelle Manger du rat publiée dans Olé Oléti. À cette époque, on mangeait du rat parce qu’on n’avait rien d’autre ! », raconte l’auteur. Mais ses années lui ont apporté une force pour surmonter les épreuves. Très jeune, la rencontre avec la littérature sera déterminante. Sa passion pour les livres l’amènera à l’écriture. « Lorsque je n’écris pas, je souffre. L’écriture, c’est comme une thérapie », confie l’écrivain.